Faisant partie de la liste civile, le tableau passe, après la chute de Napoléon III, aux mains du prince Napoléon Jérome qui l'accroche dans sa résidence de Prangins près du lac Léman. Le peintre avait réalisé, en 1780, celui du comte Stanisłas Potocki. Ce fichier et sa description proviennent de Wikimedia Commons. The Black Brunswicker de John Everett Millais Lady Lever Art Gallery . "Bonaparte franchissant le Grand-Saint-Bernard"est un tableau de Jacques Louis-David, "Premier peintre" de l'Empereur Napoléon 1er. L'artiste applique aussi cette esthétique au portrait de Bonaparte, comme il le fit auparavant pour le portrait de madame Récamier[68]. Robert Rauschenberg s'inspire du tableau de David pour réaliser Able Was I Ere I Saw Elba II en 1985[91]. Elle est accrochée au palais vers la fin de 1802 ou au début de 1803, dans le salon de Mars. Il va d'un coup de pied les écraser tous. Longtemps accroché au Kunsthistorisches Museum de Vienne[34], il regagne le palais dans les années 1990 (inventaire ÖG 2089). Bonaparte franchissant les Alpes par Paul Delaroche, musée du Louvre. Il accepte à la place une répétition du portrait équestre sur proposition de Napoléon et son directeur des musées Dominique Vivant Denon. Je prêtai dans la suite cet habillement à M. David, premier peintre de Sa Majesté, pour son tableau du passage du mont Saint-Bernard », On remarque que la légende de cette estampe est en italien, car on y lit, (« Perfect Glory and Solid Peace: Calm on a Fiery Horse »), Les Derniers Moments de Michel Lepeletier, Officier de chasseurs à cheval de la garde impériale chargeant, Charles-Alexandre Geoffroy de Grandmaison, Historical Treasures: Samuel Moon Paintings, Revue des Musées de France, Revue du Louvre, Diane et Apollon perçant de leurs flèches les enfants de Niobé, Érasistrate découvrant la cause de la maladie d'Antiochius, Les licteurs rapportent à Brutus les corps de ses fils, Portrait d'Antoine-Laurent Lavoisier et de sa femme, Portrait de la comtesse de Sorcy-Thélusson, Portrait du comte Antoine Français de Nantes, Portrait du Général Étienne-Maurice Gérard, Apelle peignant Campaspe devant Alexandre, Le Conventionnel Michel Gérard et sa famille, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Bonaparte_franchissant_le_Grand-Saint-Bernard&oldid=177732984, Article contenant un appel à traduction en anglais, Catégorie Commons avec lien local différent sur Wikidata, Portail:France au XIXe siècle/Articles liés, Portail:Époque contemporaine/Articles liés, Portail:Château de Versailles/Articles liés, Portail:Architecture et urbanisme/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, Version de la Malmaison : exposée au Louvre de septembre à novembre 1801 avec, Version de Charlottenburg : exposé au Louvre de septembre à novembre 1801 avec. Il est enlevée comme prise de guerre en 1815 par les soldats prussiens qui investissent le château sur ordre du feld-maréchal Blücher. L'artiste applique aussi cette esthétique au portrait de Bonaparte, comme il le fit auparavant pour le portrait de madame Récamier[68]. [...] David, dont les mains et les pieds étaient assez délicats, se prit à dire, après avoir fait observer la petitesse des bottes de Bonaparte qu'ordinairement les grands hommes ont les extrémités déliées. En 1780 David avait dessiné une étude de cheval cabré qui montre beaucoup de similarités avec le portrait équestre[55]. Cette œuvre intitulée Napoleon Leading the Army over the Alps fait partie des collections du Brooklyn Museum[92]. Le portrait passe ensuite dans les collections du château de Charlottenbourg (inventaire GKI 913). Lors de la cérémonie, le peintre lui dit : « Il y a là quelques coups de canon pour toi, mon ami[27]». Avec une grande audace, Bonaparte joua la surprise en franchissant un col réputé peu praticable au printemps. Enfin la couleur monotone et pauvre n'en relève pas l'intérêt. La dernière version n'a pas de commanditaire et est conservée par David jusqu'à sa mort (entrée en 1979 au musée national du château de Versailles, elle est depuis 2017 exposée au Louvre Abou Dabi). Le peintre préraphaélite John Everett Millais, dans son tableau The Black Brunswicker, montre sur le mur une reproduction en gravure[87] du tableau de David interprétée par les critiques comme une admiration romantique de la figure de Napoléon[88]. auteur de la première biographie complète du peintre, évoque la visite de Napoléon dans l’atelier de David : « Vers la fin de l'an IX, quand il fut terminé, David le présenta au Premier Consul. Des modèles empruntés aux artistes contemporains de David, la Statue de Pierre le Grand par Falconet, avait été copié par le peintre d'après une gravure. Le tableau reste à Madrid après la destitution du roi Charles IV par Napoléon, où il est remarqué au palais royal par Abel Hugo, page de Joseph Bonaparte, nouveau roi d'Espagne : « En attendant le moment de l'arrivée du roi, Aristizabal me fit admirer les tableaux qui décoraient la salle où nous étions : on y voyait, entre autres, une fort belle copie d'un tableau de David, celui où il a représenté le général Bonaparte franchissant les Alpes sur les traces effacées d'Annibal et de Charlemagne. David, prend le parti de rendre son modèle héroïque à la mesure de l’exploit que pouvait constituer le franchissement des Alpes selon les contemporains[71], dans une figuration qui se rapproche de l’allégorie, mais sans les symboles. Le 20 mai, habillé d’un uniforme bleu que recouvre une redingote grise et coiffé d’un bicorne couvert de toile cirée, il monte une mule, et escorté par le guide Dorsaz, traverse le col[41]. Ni Azara, ni Cevalos, n'étant au courant de cette commande, ils s'informent auprès de Muzquiz, qui confirme la commande d'un portrait pour le roi d'Espagne, mais non d'une réplique[11]. Le cheval de la première version reprend presque à l’identique l'attitude et la même robe pie que celui des Sabines. Antoine-Jean Gros, son élève, possédait une ébauche à l’huile d’un cheval cabré, probable étude pour la monture. Andy Warhol dans une sérigraphie réalisée pour Vogue et intitulée Diana Vreeland Rampant colle le visage de Diana Vreeland sur le corps de Bonaparte. Cavalier terrassant un barbare groupe sculptural de la tombe de Dexileos, musée de Keramios, Athènes. Le portrait de David marque une rupture dans l’iconographie napoléonienne. »[64]. Enfin la couleur monotone et pauvre n'en relève pas l'intérêt. Il était de tradition, à l'époque, d'exposer ses œuvres au Salon qui se tenait au Louvre et dont l'entrée était gratuite. Pour la posture du cheval et du cavalier, David puise son inspiration dans plusieurs modèles qui trouvent leurs origines dans l'art antique, inspiration constante chez David, l'art de la Renaissance, l'art classique ainsi que chez des artistes qui lui sont contemporains. De l'art de la Renaissance, David avait vu à Rome Héliodore chassé du Temple de Raphaël, souvent copié par les pensionnaires de l'Académie de France, et dont le motif directement tiré du type canonique du cavalier hellénistique observé dans le cavalier de Dexileos, trouve des équivalences avec le portrait de Bonaparte, notamment dans le mouvement de la cape[46]. Ce puzzle est une reproduction de la troisième version, exposée au Musée du Château de Versailles. Commentaire . ». "Bonaparte franchissant le Grand-Saint-Bernard"est un tableau de Jacques Louis-David, "Premier peintre" de l'Empereur Napoléon 1er. Deuxième esquisse pour le Bonaparte, collection Jacques Delafosse, Paris. Je me félicite, Citoyen Vice-Président, que cette circonstance me mette dans le cas de me rappeler à votre souvenir et à l'amitié dont vous m'avez honoré. Archétype du portrait de propagande, l'œuvre a été de nombreuses fois reproduite en gravure, sur des vases ou des assiettes, sous forme de puzzle ou en timbre-poste, témoignages d'une importante postérité. Le directeur général du musée central des Arts au citoyen Melzi, vice-président de la République italienne. Du 15 au 21 mai, les troupes gravissent les monts et acheminent des tonnes de matériel et l’artillerie logée dans des troncs d’arbres évidés pour en faciliter le transport. Pour le paysage, il s'inspire de gravures tirées de l’ouvrage Voyage pittoresque de la Suisse[62]. Raphaël, Héliodore chassé du Temple Rome. Bonaparte franchissant le Grand-Saint-Bernard est un portrait équestre de Napoléon Bonaparte alors Premier Consul, réalisé par Jacques-Louis David entre 1800 et 1803. Le portrait est donné à sa fille Zénaïde Bonaparte, princesse de Canino, qui l'accroche dans la villa Bonaparte (autrefois nommée villa Paolina), résidence des princes de Canino à Rome[20]. Cette politique de coopération avec le futur empereur des Français ne tourna pas au profit de Charles IV : son beau-frère Ferdinand Ier, duc de Parme, fut dépossédé par Napoléon en 1802 et lui-même, avec son fils Ferdinand VII, fut emmené en captivité en France en 1808, laissant le trône d'Espagne au frère de Napoléon, Joseph Bonaparte. En 2017, l'œuvre intègre la collection du Louvre Abou Dabi, inauguré le 11 novembre 2017[40]. Il accepte à la place une répétition du portrait équestre sur proposition de Napoléon et son directeur des musées Dominique Vivant Denon. Pour la réalisation des différentes répliques David se fait aider par deux de ses élèves, Jérôme-Martin Langlois[56], qui travailla sur les deux premiers tableaux et a principalement travaillé sur les chevaux, et Georges Rouget, qui, par la suite, fit une copie de l’œuvre pour l’Hôtel des Invalides[57]. L’exemplaire du château de Charlottenbourg montre un manteau de ton rouge vermillon. Jusque dans les années 1950 les biographes maintiendront cette version des faits, malgré les listes des œuvres dressées par David, qui précisent que la première version est bien celle destinée au roi Charles IV[7]. De l'art de la Renaissance, David avait vu à Rome Héliodore chassé du Temple de Raphaël, souvent copié par les pensionnaires de l'Académie de France, et dont le motif directement tiré du type canonique du cavalier hellénistique observé dans le cavalier de Dexileos, trouve des équivalences avec le portrait de Bonaparte, notamment dans le mouvement de la cape[46]. Elle le lègue au musée en 1949 (inventaire MM 7149)[22]. Le Premier Consul franchissant les Alpes au col du Grand-Saint-Bernard accède à la postérité avec un nombre incalculable de reproductions, depuis les gravures jusqu’aux posters, en passant par les timbres poste[93], faisant de ce tableau l'un des plus reproduits des portraits de Napoléon. Bonaparte franchissant les Alpes au Grand-Saint-Bernard - 1800. Le 19 décembre 1802, le tableau est accueilli en grand cérémonial au son du canon par les pensionnaires, en présence du peintre et de son assistant Georges Rouget. Étude au carreau pour le Bonaparte vers 1800 musée Fabre Montpellier. Le second exemplaire de Versailles présente un cheval pie comme la première version, la bride est complète mais sans la muserolle, la sous-ventrière est rouge. Ne pouvant convaincre Napoléon de poser pour le tableau, Jacques-Louis David s’inspire d’un buste pour la ressemblance[58], et fait poser son fils pour la posture du personnage. Parmi les autres modèles ayant pu inspirer David, l'historien d'art François Benoît indique qu'il avait chargé son assistant Jérôme-Martin Langlois de copier la posture du cheval d'après le groupe équestre des Dioscures de la place du Quirinal, à Rome[45]. Cet éphèbe qu’il peint une première fois dans La Mort du jeune Bara est aussi présent sous la forme du jeune écuyer au bonnet phrygien des Sabines. La dernière version n'a pas de commanditaire et est conservée par David jusqu'à sa mort (entrée en 1979 au musée national du château de Versailles, elle est depuis 2017 exposée au Louvre Abou Dabi). Nature de l'élément . », Les diagonales des montagnes et des nuages se confrontent renforçant l’impression de mouvement et d’ascension[65]. Pour le paysage, il s'inspire de gravures tirées de l’ouvrage Voyage pittoresque de la Suisse[62]. Il apprend que le portrait est destiné à la république française[31],[32]. Heureusement, le guide parvient à le retenir d’une main ferme, sinon le Napoléon Bonaparte aurait dégringolé dans le précipic Falconet Statue équestre de Pierre Ier à Saint Petersbourg. L'ensemble de la figure est héroïque, et elle est ajustée avec une perfection qui prouve le parti qu'un artiste peut tirer du costume français. Il fixa long-temps le portrait sans rien dire, et, se tournant vers le peintre, il le combla d'applaudissements et d'éloges. En fait le peintre n'avait fixé le prix que du premier exemplaire, payé 24 000 livres tournois par le trésor du roi d'Espagne. Cet éphèbe qu’il peint une première fois dans La Mort du jeune Bara est aussi présent sous la forme du jeune écuyer au bonnet phrygien des Sabines. Dès le mois de juin 1800, Bonaparte ordonna l'édification du tombeau au Grand-Saint-Bernard, bien que Desaix n'eut pas traversé les Alpes avec l'armée de Réserve. Au premier plan, les noms de BONAPARTE, ANNIBAL et KAROLVS MAGNVSIMP. Quand Joseph Bonaparte est expulsé de France, il s'exile aux États-Unis à Philadelphie, d'où son tableau est expédié et est accroché dans sa résidence de Point-Breeze[19]. Une oeuvre qui s’inspire de la toile “Bonaparte franchissant le Grand-Saint-Bernard” réalisée par le peintre Jacques-Louis David en 1801. peinture , version originale Créateur . La quatrième version fut commandée pour le palais de la République cisalpine de Milan. Il ajoute à cette commande une copie du portrait de Napoléon par David qu'il se destine[10]. ». Bonaparte franchissant les Alpes est une représentation de Napoléon Bonaparte peinte entre 1848–1850, par le peintre français Paul Delaroche. Le 23 février 1816, ordre est donné par le comte de Pradel, directeur général de la Maison du Roi, que le tableau encore accroché aux Invalides, soit remisé dans les réserves du Louvre[33]. Je suis Frédéric Lacaille, l'un des conservateurs de Versailles en charge des peintures du Dix-neuvième siècle. Dans l'art classique, ce sont les Chevaux de Marly de Guillaume Coustou, — que David avait fait installer sur les Champs-Élysées pendant la Révolution — dont il s'inspire en premier[47]. Le 21 septembre 1801, l’original et sa première réplique sont exposés une première fois au Louvre à côté de l’œuvre Les Sabines, et suscitent la polémique dans la presse à cause du caractère payant de l’exposition. Le paysage s’est assombri. ». Jusqu'à la réapparition de la version de Malmaison en 1949, les auteurs considéraient, sur la base des sources de la presse d'époque, que la version appartenant au premier Consul (aujourd'hui à Berlin) était le premier tableau, tandis que la version destinée au roi d'Espagne était le deuxième[7]. Il est envoyé au Grand Trianon du château de Versailles le 14 novembre 1811, et retrouve son emplacement originel à Saint-Cloud à la fin de l'Empire[25]. J'ai fait encaisser ce tableau avec soin et je l'ai fait porter chez le citoyen Marescalchi, ministre des Relations extérieures de la République italienne en l'invitant à saisir la plus prompte occasion pour vous le faire parvenir. Le tableau se situe dans la période ou David, après avoir été influencé par l'antiquité romaine, amorce selon ses mots, un « retour vers le grec pur », marquée par un néo-classicisme inspiré de l'art grec, dont Les Sabines et Léonidas aux Thermopyles sont représentatifs. La troisième version a pour destination la bibliothèque de l'Hôtel des Invalides. à quoi bon ? Brave roi, qui ne s'apercevait pas que mettre ce portrait dans cette salle, c'était en ôter son trône[17]! ». Exposition du J. P. Getty Museum, fevrier-avril 2005 et du Sterling and Francine Clark Art Institute avril-septembre 2005, Cet article est reconnu comme « article de qualité » depuis sa version du 27 octobre 2006, La version du 27 octobre 2006 de cet article a été reconnue comme «, Droit d'auteur : les textes des articles sont disponibles sous. Quand Joseph Bonaparte est expulsé de France, il s'exile aux États-Unis à Philadelphie, d'où son tableau est expédié et est accroché dans sa résidence de Point-Breeze[19]. The embroidery of the gauntlet is simplified with the facing of the sleeve visible under the glove. Pour sa part Charles IV offre à Napoléon seize chevaux de race espagnole provenant de ses écuries royales, son portrait et celui de la reine par Goya, et passe la commande à David du portrait du Premier Consul[42]. Le manteau est rouge-orangé, le tissu de l’écharpe est bleu clair. C'est probablement la réplique vue par le peintre britannique Joseph Farington à l'atelier de David au Louvre le 3 octobre 1802, alors qu'elle est en cours de réalisation, et que la deuxième version est déjà installée à Saint-Cloud. Les carnets de David montrent quelques esquisses présentant une première pensée de l’attitude du cavalier[54]. Vivant Denon qui fut chargé, le 29 mars 1803, d’expédier le tableau à la République italienne et son vice-président Francesco Melzi d'Eril : « 8 germinal an 11, au citoyen Melzi, vice-président de la République italienne. Les grands noms d'Annibal et de Charlemagne viennent se mêler si naturellement à celui de l'empereur, lorsqu'on regarde ce tableau, qu'il semblait inutile de les écrire au bas. Elle stipule que David représente le général Bonaparte en pied dans son costume de Premier Consul : « M. de Musquiz est chargé de demander à David un portrait en pied et de grandeur naturelle du général Bonaparte dans son costume de Premier Consul ; il a ordre de donner à David tout ce qu'il demandera[9]. En 1979, le tableau est cédé par le prince Louis Napoléon au château de Versailles (inventaire MV 8550). Ce fut le second portrait équestre de David. Monsiau, Alexandre domptant Bucéphale (1787). Deuxième esquisse pour le Bonaparte, collection Jacques Delafosse, Paris. La date de commencement est déduite par le témoignage d'un visiteur danois Tønnes Christian Bruun de Neergaard, qui fait publier en 1801 Sur la situation des beaux arts en France: ou lettres d'un Danois a son ami, où il raconte sa visite dans l'atelier de David le 10 janvier de cette année (daté du 20 nivose an IX). Le visage de Napoléon présente un caractère juvénile[5]. Les carnets de David montrent quelques esquisses présentant une première pensée de l’attitude du cavalier[54]. La raison principale est triviale : Bonaparte répugne à poser pour des artistes. En fait la version de Versailles est bien celle qui fut à l'origine installée aux Invalides à partir de décembre 1802. Tout en se tournant vers le spectateur, il indique une direction de la main droite qui ne porte pas de gant. En bas à droite, on voit le drapeau tricolore qui flotte. Celui-ci reçoit la visite de David en septembre 1801, qui lui informe que le portrait équestre que le roi d'Espagne avait commandé était terminé, tout en prétendant qu'il s'agit d'une réplique dont l'original a été commandé pour Napoléon.
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