Au total, l'armée irakienne lance une vingtaine de missiles balistiques en direction du Koweït, où est prépositionnée une bonne partie des forces de la coalition. Un examen préliminaire datant de 2006 a déjà été clôturé faute de preuves par l'ancien procureur Luis Moreno Ocampo et avait décidé de pas ouvrir d'enquête en Irak. En août 2010, le président Barack Obama annonce la fin du retrait des troupes combattantes américaines tout en maintenant en Irak 50 000 « conseillers Â» qui resteront jusqu'en décembre 2011. Et, en janvier 2003, pour prouver devant les Nations unies que l’Irak relance son programme nucléaire, George W. Bush fait usage du rapport britannique[55]. Cette nouvelle armée irakienne qui a réengagé de nombreux soldats de l'armée de Saddam, jusqu'au grade d'officier subalterne ; selon le décret de Paul Bremer, les militaires au grade de colonel ou un grade supérieur sont écartés d'office de toute fonction gouvernementale ou militaire[169]. Applications mobiles nécessaire], unités combattant de façon isolée et apparemment très mal commandées au niveau du commandement de la Garde républicaine[note 8] ; le commandant des opérations (civil) de la région militaire centre, incluant en particulier les régions de Bagdad, de Tikrît, de Baqubah et de Kut, défendue par la garde républicaine, était Qoussaï Hussein [réf. De tels États et leurs alliés terroristes constituent un axe du mal s’armant pour menacer la paix dans le monde. La fin de l'opération de guerre conventionnelle fut savamment orchestrée lors d'un discours du président prononcé le 1er mai 2003 sur le pont d'un porte-avions nucléaire sur lequel on pouvait lire la bannière Mission accomplie ; le président américain le prononça sur un ton victorieux après avoir atterri avec un Lockheed S-3 Viking. Un mois plus tard, le Wall Street Journal révèle les résultats d'un sondage encore plus défavorable à l'intervention américaine : 53 % des Américains pensent que le conflit en Irak était « une erreur Â», contre seulement 34 % qui estiment qu'elle était justifiée. La presse était surtout bienvenue pour les opérations de propagande. L'armée turque en lutte contre le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) a déclenché plusieurs offensives contre ce mouvement à l'intérieur du Kurdistan irakien depuis 1984, notamment en février 2008[134]. Plusieurs représentants chiites et sunnites signent en octobre 2006 le Document de La Mecque sous l'égide de l'Organisation de la conférence islamique, qui exige le rétablissement de l'ordre et de la paix. Selon France 24 : « Les critiques dénonçaient le manque de pertinence de l’échantillon retenu. Dans ce contexte difficile (ouragan Katrina) pour George W. Bush, un sondage Gallup montrait que 63 % des Américains voulaient le retour des soldats dans leur pays. Beaucoup de scientifiques et étudiants manquent de connaissances linguistiques pour un échange international. » (Propos de William Kristol cités par Ari Shavit. Cette allocation budgétaire était de 213 milliards en septembre 2013[181]. Scott Ritter, un des inspecteurs américains de l'UNSCOM, explique « nous avons fait voler un avion U-2 au-dessus de l'Irak. Le président Obama a réduit le nombre de soldats américains engagés en Afghanistan et en Irak, mais il a déployé de manière dramatique la guerre aérienne … 450 milliards découlant de l'affectation des budgets à la guerre plutôt qu'à des dépenses productives ou à la réduction du, 57 % d'entre eux estiment que l'administration Bush a exagéré la menace des. Ce nombre est repris par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), mais selon France 24 il suscite la controverse : « le groupe a mené son enquête en interrogeant environ 10 000 foyers irakiens sur les pertes dans leurs familles respectives. Depuis la guerre en 2003, plus de 200 professeurs ont été tués, des bibliothèques ont été pillées, la bibliothèque de la faculté philosophique historique de l’Université de Bagdad par exemple a été entièrement brûlée. Par la suite, après la reprise d'un nouveau conflit fin 2013, Iraq Body Count comptabilise la mort de 190 000 Irakiens entre 2003 et 2017, dont 72 000 rien qu'à Bagdad[148]. On estime que la maintenance des hélicoptères a représenté, depuis le début des opérations d'Afghanistan en 2001, 20,6 milliards de dollars, et la maintenance globale pour 2006 est évaluée à 200 millions d'heures de travail. Les autorités irakiennes accusent d'abord des hauts responsables du Parti Baas en exil en Syrie, mais l'État islamique d'Irak revendique le 25 août les attentats[132]. La Guerre d'Irak qui n'a duré que quelques semaines, n'a fait que très peu de morts. Installer un régime démocratique qui servira les intérêts des alliés et qui de plus soutiendrait les occidentaux dans leur lutte contre plusieurs régimes islamiques voisins de l’Irak. Daech prospère sur les cendres de cette guerre de religion, en promettant la vengeance aux sunnites. Le nombre des victimes irakiennes n'est pas connu avec exactitude et varie considérablement selon les sources, les diverses estimations allant de 100 000 à plus d'un million de morts pour la période 2003-2011, tant parmi les combattants que les civils[1],[2],[3]. L'arrestation de Saddam Hussein par l'armée des États-Unis, aurait cependant, pour certains observateurs sur place, permis à une plus large part de la population de ne pas avoir peur de représailles et de rentrer dans les rangs de la guérilla qui se disent persécutés [réf. Depuis septembre 2007, on assiste à un retour de plusieurs dizaines de milliers de réfugiés[161]. En novembre 2008, les gouvernements irakien et américain signent un pacte bilatéral incluant le Status of Forces Agreement (SOFA) qui fixe à la fin 2011 le terme de la présence militaire des États-Unis. Courant juillet 2003, les États-Unis demandent à plusieurs pays et à l'ONU de les aider dans le contrôle du pays par l'envoi de troupes armées, mais ces derniers refusent, ne voulant pas cautionner l'invasion jugée illégale de l'Irak. Des « rebelles Â» en armes se promènent alors dans Bagdad au grand jour à 200 mètres de la zone verte. Montrez-moi pourquoi l'Irak attaquerait l'Amérique ou utiliserait des armes nucléaires contre nous ?’ Eh bien, je vais vous dire quelle est selon moi la menace réelle, et l'a été en fait depuis 1990. Qui pointer du doigt pour ce dramatique bilan ? En octobre 2009, le ministère irakien des Droits de l'homme avance qu'au total de 85 694 personnes ont été tuées depuis le début du conflit[3]. Officiellement il n’existe plus de restrictions concernant le programme scolaire, malgré un manque de planification stratégique[172]. Sous la supervision du Chemical Destruction Group, toutes les munitions chimiques déclarées devaient être détruites au complexe Al Muthanna. les journalistes doivent être apte physiquement et capables de transporter leur équipement. Le 8 avril, deux journalistes qui filmaient à partir des fenêtres de cet hôtel tombent victimes d'un obus tiré par un tank américain : l'Ukrainien Taras Protsyuk de l'agence Reuters et l'Espagnol José Couso, de Telecinco. Certains peuvent être arrêtés rapidement, d'autres ne sont pris qu'au bout de plusieurs mois, en particulier les deux fils de Saddam Hussein, Udaï et Qusaï (tués tous deux le 22 juillet 2003). Selon un rapport des universités de Boston et de Brown, il ne reste aujourd'hui en Irak que 22 000 médecins (18 000 ont fui après l'invasion) et 84 psychiatres sur l'ensemble du pays, pour une population de 33 millions d'habitants. Pollution de l'eau par la mise à feu de plusieurs raffineries pétrolières et par les combats, ce qui empêche les agriculteurs de produire suffisamment. L'Irak est divisé, avec d'un côté les chiites qui sont protégés par le gouvernement, la police et des milices paramilitaires ; de l'autre une communauté sunnite exclue du pouvoir et marginalisée qui rêve de revanche. Les journalistes doivent se conformer à un minimum de discipline. Le 19 août 2009, un sextuple attentat à Bagdad fait 95 morts et plus de 550 blessés : c'est l'attentat le plus grave à Bagdad depuis 2008, deux des bombes étant posées devant les ministères irakiens des Finances et des Affaires étrangères, au cœur de la zone verte[131]. Finalement, moins d'un mois avant la date de l'invasion, la Turquie n'autorisa pas les forces terrestres américaines à opérer depuis son territoire ; néanmoins, compte tenu de la faiblesse de la logistique irakienne, la plus grande partie de l'armée irakienne du Kurdistan fut forcée de demeurer sur place, à l'exception de quelques unités de la Garde républicaine qui furent envoyées en renfort des unités de la Garde qui assuraient la défense de Bagdad[réf. Souvent les professeurs en Irak n’osent pas dire publiquement leur opinion. Ils pourraient attaquer nos alliés ou faire du chantage aux États-Unis. Le retrait des troupes d'Irak est alors soutenu par 56 % des Américains selon un sondage NBC/Wall Street Journal publié le 26 avril 2007 (seuls 37 % soutiennent le président Bush sur ce point). ». Ces inspections ne seront plus effectuées par l'UNSCOM (United Nations Special Commission), mais par une nouvelle commission nommée Commission de surveillance, de vérification et d'inspection des Nations unies (United Nations Monitoring, Verification and Inspection Commission - UNMOVIC). Il aura fallu du temps pour que les Américains assument sans complexe cette position. Pourtant la qualité de la vidéo de l'exécution est mauvaise, et Zarqawi est censé porter une jambe de bois à la suite d'un accident, selon ces mêmes experts, ce qui n'est pas le cas sur la vidéo. Accédez à l’intégralité des contenus du Point >>, Politique de protection des données à caractère personnel, Gérez vos inscriptions aux newsletters d’information généraliste et thématiques, Archivez vos contenus favoris pour les lire ultérieurement, Bénéficiez d’une exposition publicitaire modérée, Et accédez à d’autres services exclusifs (jeux-concours, événements…). Le 14 février 2003, le ministre français des affaires étrangères Dominique de Villepin déclare dans un discours remarqué que « l'intervention militaire serait la pire des solutions. nécessaire]) des rapports d'inspection qui étaient exclusivement destinés à l'ONU, a publié un livre en 2000, intitulé The Greatest Threat: Iraq, Weapons of Mass Destruction, and the Crisis of Global Security (ISBN 1-58648-039-1). On estime qu'il manque 60 000 ordinateurs, 2 000 laboratoires scientifiques ainsi que de nombreux livres et du matériel scolaire. Et c'est la menace qui n'ose pas dire son nom, parce que les Européens, je vais vous le dire franchement, ne se soucient pas beaucoup de cette menace. Du côté de la nature du conflit ensuite : la guerre d’Irak est, avec celle d’Afghanistan, l’emblème de la guerre du XXIe siècle. Différentes commissions s'ouvrent courant juillet 2003, au Royaume-Uni et aux États-Unis, à propos des faux documents confirmant la présence d'armes de destruction massive soumis par ces gouvernements à leur population. Mearsheimer et Walt répondent[26] par cette citation d'un enregistrement de l'allocution : « La menace non dite. Le 31 mai 2003, les États-Unis annoncent qu'ils occuperaient militairement l'Irak plus longtemps que ce qui avait été annoncé auparavant. Tutoriel vidéo Les éléments avancés par les États-Unis pour affirmer leurs dires sur la présence d'armes de destruction massive, les recherches visant à fabriquer de telles armes ou encore les liens entre l'Irak et le terrorisme provoquent beaucoup de débats, surtout après la publication du memorandum de Downing Street. Fin de la politique menée par Saddam Hussein al-Tikriti et sa famille (notamment ses deux fils, Uday et Qusay Hussein, qui occupaient des postes clés du régime). Une des grandes premières de cette guerre a été sa très grande médiatisation. En décembre 2013, la situation dégénère et des tribus sunnites se soulèvent dans la province Al-Anbar. En octobre 2015, Tony Blair, fit part de ses regrets face à la guerre en Irak, en particulier en raison des informations erronées qui avaient conduit à l’option militaire[96]. Le 4 décembre 2017, la procureure Fatou Bensouda de la Cour pénale internationale indique qu'il existe des preuves indiquant que des soldats britanniques ont commis des crimes de guerre contre des détenus en Irak. Établir le plus rapidement possible un gouvernement de transition (gouvernement provisoire irakien) qui désignerait dans le peuple un gouvernement démocratique représentatif de toutes les communautés irakiennes (chiites, sunnites et kurdes), capturer les membres du parti Baas et les juger, renverser le régime dictatorial mis en place par Saddam Hussein et sa famille et affecter les biens (palais, argent…) saisis à ceux-ci pour la reconstruction des infrastructures détruites lors de la guerre. Cette annonce a été faite à la suite de la réouverture d'un examen préliminaire rouvert en 2014. Le "risque de mort" pendant ces dix années est trois fois plus important pour un homme que durant les années de dictature. Politique de protection des données à caractère personnel Il demande à savoir si « Saddam avait fait cela Â» ou « s’il n’y a pas participé de quelque manière que ce soit Â»[29]. Il explique que seules quelques preuves anecdotiques lient l’Irak à Al-Qaeda et précise qu’il n’y a aucune trace concrète de l’intervention de l’Irak dans la préparation ou la mise en œuvre des attaques du 11 septembre. », http://boutique.arte.tv/f8472-tonnerre_roulant_sur_bagdad, Vidéos tournées par les forces de la coalition en Irak, Division d'infanterie mécanisée irakienne, Liste d'œuvres inspirées par la guerre d'Irak, Manifestations mondiales contre la guerre d'Irak, Compilation des réactions internationales au sujet du conflit, Site du Central Command, quartier général des forces des États-Unis pour le Moyen-Orient et l'Asie centrale, Détails des pertes de la coalition sur le site de CNN au 9 janvier 2009, Al-Qaïda en guerre sainte dans le sous-continent indien, Conseil de la Choura des moudjahidines de Derna, Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans, Groupe salafiste pour la prédication et le combat, Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest, Organisation de libération du Turkestan oriental, Conseil consultatif des moudjahidines en Irak, Confrontation israélo-palestinienne de 2011, Confrontation entre Israël et la bande de Gaza en 2012, Regain de violence entre Israël et la Palestine (2015-2017), Troubles en région autonome ouïghoure du Xinjiang, Intervention militaire du Kenya en Somalie, Opérations aériennes de la coalition internationale en Syrie, Coalition internationale en Irak et en Syrie, Intervention militaire de la Russie en Syrie, Intervention alliée pendant la guerre civile russe, Interventions militaires des États-Unis dans le monde, List of the lengths of American participation in major wars, Acquisitions territoriales des États-Unis, Covert United States foreign regime change actions, Pertes humaines américaines lors des guerres impliquant les États-Unis, Portail des forces armées des États-Unis, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Guerre_d%27Irak&oldid=178228425, Article contenant un appel à traduction en anglais, Page géolocalisable sans coordonnées paramétrées, Conflit militaire géolocalisable sans coordonnées paramétrées, Article manquant de références depuis mars 2016, Article manquant de références/Liste complète, Article avec une section vide ou incomplète, Page utilisant plus de deux colonnes de références, Article de Wikipédia avec notice d'autorité, Page pointant vers des dictionnaires ou encyclopédies généralistes, Catégorie Commons avec lien local identique sur Wikidata, Portail:Forces armées des États-Unis/Articles liés, Portail:Histoire militaire/Articles liés, Portail:Époque contemporaine/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, les liens entre les néo-conservateurs et des entreprises d'exploitation pétrolière, notamment le. nécessaire]. Seules quelques milliers d'armes leur sont livrées. Le 15 décembre 2011, les Américains annoncent la fin de la guerre et les derniers soldats quittent le pays le 18 décembre[15], ne laissant que quelques soldats chargés d'entraîner les forces irakiennes et un contingent de Marines affecté à la protection de l'ambassade des États-Unis en Irak à Bagdad qui abrite plus de 5 500 Américains et des milliers d'employés étrangers. Art. L'étude souligne que beaucoup de vétérans sont laissés à eux-mêmes une fois rendus à la vie civile, il n'y a pas de véritable politique de suivi et d'assistance. nécessaire] (entièrement composée de militaires professionnels, en majorité, ou presque exclusivement, des sunnites[réf. La guerre d'Irak ou seconde guerre du Golfe commence officiellement le 20 mars 2003 avec l'invasion de l'Irak (dite opération Liberté irakienne) par la coalition menée par les États-Unis contre le Parti Baas de Saddam Hussein. Pollution des terres agricoles et des nappes phréatiques par le sabotage des puits de pétrole et l'ouverture volontaire des oléoducs. Au 1er septembre 2010, il ne reste que 50 000 soldats placé sous le commandement du général Lloyd Austin. Il maintient également que l'Irak poursuivait des programmes de développement d'armes de destruction massive (ADM), bien qu'aucune preuve n'ait été découverte après plus de 6 mois de présence sur le territoire irakien par l'armée américaine et ses alliés [réf. Beaucoup d'argent pourrait ainsi être réinjecté dans l'économie, plus spécifiquement dans le secteur de l'armement et des hydrocarbures. En remplacement de cette Division d'infanterie mécanisée, l'armée américaine envoya au Kurdistan une Brigade aéroportée, principalement destinée à empêcher une intervention de l'armée turque dans cette région et à contrôler l'action des forces kurdes du PDK et du UPK[réf. Seulement 7 % du corps enseignant sont des professeurs. Et le gouvernement américain ne veut pas trop s'appesantir sur elle dans son discours justificatif, parce que ce n'est pas un argument de vente populaire. Cette guerre est l'une des rares mises en oeuvre[9] du concept de guerre préventive, ici menée pour parer à la menace des armes de destruction massive dont l'administration Bush affirmait à tort détenir la preuve dans un rapport présenté au conseil de sécurité de l'ONU le 12 septembre 2002[10]. Mais l'Iraq Survey Group (ISG) déclara en 2004 qu'il n'y avait plus aucune production d'arme chimique depuis 1991, ni aucun programme en cours en vue d'en obtenir de nouvelles (voir plus bas), et que seules ont été alors collectées dans tout le pays 500 munitions abandonnées ou oubliées et dans un état dégradé, datant de la guerre Iran-Irak[19],[20],[21],[22]. "L'administration irakienne s'est effondrée à la suite de l'invasion américaine ; l'économie, elle, est en proie à la corruption et au népotisme", constate amèrement Pierre-Jean Luizard, directeur de recherche au CNRS. nécessaire], alors qu'elles avaient certainement la possibilité de tenir encore plus longtemps. Les inspecteurs de l'Organisation des Nations unies (ONU) et de l’Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) ont procédé à des inspections des sites irakiens jusqu’en décembre 1998 : à cause de l'Operation Desert Fox (Renard du Désert), les inspections sont stoppées et l'UNSCOM quitte l'Irak[43]. », « s’il n’y a pas participé de quelque manière que ce soit Â», si celles-ci avaient décidé de se flanc garder sur leur aile gauche lors leur attaque principale sur Bagdad par le Sud, « les choses ne se sont pas déroulées comme nous l'avions espéré Â», « la plus grosse erreur, du moins en ce qui concerne l'implication de notre pays, c'est Abou Ghraïb Â», « La communauté du renseignement juge que le terme de guerre civile Â» ne représente pas de manière adéquate la complexité du conflit en Irak. Le nombre des civils français d'Algérie victimes du terrorisme est connu, lui aussi, avec précision : 2 788 tués, 7 541 blessés et 875 disparus. Les forces de la Coalition passèrent à l'offensive terrestre à partir de 18 h 30 UTC quelques heures après le début les bombardements aériens contrairement à ce qui s'était passé lors de l'opération Tempête du désert[73].