Elle résulte en une occupation irakienne du Koweït pendant 7 mois, avant que le pays ne soit libéré par les forces de la Coalition. Elle se fit immédiatement connaître comme la « chaîne de la guerre ». Résolution 678 du Conseil de sécurité autorisant le recours à la force à partir du 15 janvier 1991. communément seconde guerre du Golfe, la première étant le conflit [limé de 1980 il 1988 entre l'Irak et l'Iran Les raisons qui amènent l'Irak à revendiquer périodiquement la princi­ pauté du Koweit sont de trois ordres: historique, géographique et économique. la libération du Koweït a été la bataille terrestre menée par la Coalition entre le 24 et le 28 Février 1991 au cours de la guerre du Golfe, est entré en action 39 jours après le début de 'Opération Tempête du Désert. En août 2019, 369 personnes sont toujours portées disparues[19]. La dernière modification de cette page a été faite le 12 octobre 2020 à 18:07. Une grande majorité des réseaux de télévision ont compté sur les informations et les images fournies par l'armée. La couverture médiatique de la guerre du Golfe a été très importante. Avant la guerre, en 1990, l'Irak produisait environ 8 900 millions de watts; en 1999, ce chiffre avait été réduit à 3 500[27]. Les Britanniques vont attendre jusqu'en 1961 pour donner l'indépendance au Koweït. Les chiffres des pertes irakiennes varient très largement selon les sources[1]. En 1990, les ressources financières du royaume étaient supérieures aux ressources du pétrole. Concernant les pertes matérielles irakiennes, la DIA donne le bilan suivant en juin 1992[1] : Un autre bilan donne 139 avions (plus 114 réfugiés en Iran), huit hélicoptères, 74 bateaux, 2 089 chars, 856 véhicules de transport, 2 140 pièces d'artillerie. Envoy, The Iraqi Invasion; In Two Arab Capitals, Gunfire and Fear, Victory and Cheers, http://www.globalsecurity.org/military/world/iraq/overview.htm, http://www.southasiaanalysis.org/papers7/paper615.html, http://www.globalsecurity.org/wmd/library/news/iraq/1990/900816-151051.htm, STANDOFF IN THE GULF; A PARTIAL PULLOUT BY IRAQ IS FEARED AS DEADLINE 'PLOY'. Ve- Et 149 victimes alliées. Même les pays traditionnellement considérés comme de proches alliés de l'Irak, comme la France et l'Inde, ont appelé à un retrait immédiat de toutes les forces irakiennes du Koweït[11],[12]. La prononciation koweïtienne est [lɪkˈweːt]. Saddam Hussein installe dès lors un gouvernement fantoche, baptisé le « Gouvernement provisoire du Koweït libre », Alaa Hussein Ali en devient le Premier ministre et Ali Hassan al-Majid, dignitaire du Parti Baas, est placé à la tête du gouvernement. Certains journalistes ont été choisis et ont eu l’autorisation d’aller dans un « press pool ». Que les lecteurs . "Kuwaitis Mourn the Missing in Iraq." Après la guerre, la plupart des 300 000 Palestiniens vivant au Koweït, soupçonnés de soutien à l'Irak, sont expulsés[31]. La guerre a pris fin avec l'annexion de Koweit tous ' Irak, non reconnu par 'ONU. L'offensive est une grande surprise pour les forces koweïtiennes qui avaient réduit leur niveau d'alerte. Le 16 janvier, les avions de la Coalition ciblent plusieurs sites militaires irakiens et indiquent que l'armée de l'air irakienne a été décimée[15]. Au démantèlement de l'empire ottoman, les Britanniques ont restitué la souveraineté koweïtienne. Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes, sanctions économiques immédiates contre l'Irak, Chronologie de la guerre du Golfe (1990-1991), Corps expéditionnaire égyptien durant la deuxième guerre du Golfe, résolution du Conseil de sécurité des Nations unies, Ports du Koweït#Sabotages durant la guerre du Golfe de 1991. Un total de quarante victoires aériennes alliées a eu lieu, 27 par des missiles AIM-7M, dix par des missiles AIM-9M/P, deux hélicoptères détruits au canon par des A-10, un autre détruit en vol par une bombe à guidage laser tirée depuis un F-15E Strike Eagle[22]. La guerre du Golfe de 1990-1991 ou guerre du Koweït, est un conflit qui opposa l'Irak de Saddam Hussein à une coalition de 34 États, soutenue par l'Organisation des Nations unies entre 1990 et 1991.La victoire prévisible de la coalition entraîna la libération du Koweït dont l'invasion en 1990 par l'armée irakienne avait provoqué le déclenchement du conflit. Aussi, ils n'avaient jamais accepté l'instauration d'une monarchie en Irak par les Britanniques, sans consulter la population. Pendant les sept mois d'occupation irakienne au long, les forces de Saddam Hussein ont pillé les richesses immenses du Koweït ; on a dénombré également des violations massives des droits de l'homme. Selon ce rapport, le taux de mortalité à l'accouchement est passé de 50 pour 100 000 en 1989 à 117 en 1997, tandis que le taux de mortalité infantile (compris pour inclure les enfants de moins de 5 ans), est passé pendant la même période de 30 pour 1 000 à plus de 97 pour 1 000[29]; entre 1990 et 1994, il avait été multiplié par 6[27]. Le conflit débute le 2 août 1990 à 2h00 du matin[7], les divisions de la Garde républicaine irakienne et les forces spéciales de l'armée irakienne sont les premières à entrer sur le sol koweïtien. Ruth Blakeley, Department of Politics, University of Bristol, 2001 (Revised in February 2003). Des commandos irakiens déployés par hélicoptères Mil Mi-8 et Mil Mi-17 ainsi que par bateaux attaquent la capitale Koweït, tandis que les autres divisions sécurisent les aéroports et les bases aériennes soutenus par des hélicoptères de combat Mil Mi-24. 81 aéronefs (dont 48 américains, sept britanniques et trois saoudiens) sont détruits[24]. 1991. Le but de cette censure était d'éviter d’affecter les opinions publiques arabes et de révolter les opinions publiques occidentales, au nom d'une injustice flagrante[35]. Cette invasion, élément déclencheur de la guerre du Golfe, conduit ainsi directement à l'intervention militaire des États-Unis contre l'Irak en janvier 1991. La typhoïde était passée d'environ 1 600 cas en 1990 à plus de 24 000 en 1994[27]. Elle résulte en une occupation irakienne du Koweït pendant 7 mois, avant que le pays ne soit libéré par les forces de la Coalition. Les médias américains et québécois et le mythe de la polarisation de la société américaine (Note). [14]. 'Afghanistan, le renversement manu militari de Saddam Hussein, !es Printemps arabes, !es noyades de migrants, !es crises flnan­ Un cessez-le-feu a lieu le 27 février, après l’évacuation de l’émirat par les troupes de Saddam Hussein. Il y a 30 ans, l’invasion éclair du Koweït par l’Irak Le 2 août 1990, l'armée de Saddam Hussein déferle sur l'émirat et annexe ce petit territoire riche en pétrole. United Nations Security Council Resolution 660 (Condemning the Invasion of Kuwait by Iraq), S.C. res. En plaçant un monarque étranger à l'Irak, une sorte de "marionnette" qui devait tout aux Britanniques, ce qui signifiait pour les nationalistes et les Baasistes que le pays était quasiment un protectorat britannique jusqu'en 1958, avec le coup d'état militaire qui mit fin à cette monarchie. Son demi-frère, le cheikh Fahad Al-Ahmed Al-Jaber Al-Sabah sera tué par les forces irakiennes. Irak; Guerre du Golfe : 30 ans après, le récit d’un conflit historique. 29 novembre. Un autre rapport de l'ONU, de 1999[29], souligne les effets à plus long terme de cette campagne de bombardements qui a anéanti la plupart des infrastructures nécessaires à la survie de la société (eau, électricité, hôpitaux, etc.). Au cours de l’été 1990, les finances de l'État sont au bord de la banqueroute. Le premier ministre irakien Saadoun Hammadi déclare seulement le 19 février 1991 que « les 26 premiers jours de l'offensive ont fait 20 000 morts et 60 000 blessés »[1]. Sa prospérité a stimulé l'envie de Saddam Hussein de retrouver son hégémonie sur ce territoire, hégémonie donnée par les Ottomans. L’affaire des couveuses au Koweït désigne le scandale du faux témoignage fait le 14 octobre 1990, lors de l'invasion du Koweït par les forces armées irakiennes de Saddam Hussein, qui alléguait des atrocités commises contre des nouveau-nés koweïtiens.Le témoignage se révéla être mensonger, après avoir servi à favoriser l'entrée en guerre des Occidentaux. C'est alors que le Koweit augmente unilatéralement sa production de 20% en rompant la solidarité entre les pays exportateurs de pétrole. La guerre du Golfe a provoqué non seulement des destructions au Koweït et en Irak, mais aussi la dislocation de circuits commerciaux et le rapatriement de nombreux travailleurs immigrés dans leur pays d'origine qui, dès lors, ont été privés d'importants transferts financiers. Saddam Hussein comptait aussi sur l'aide de l'URSS, alors moribonde (l'URSS prendra fin officiellement en décembre 1991), en la motivant idéologiquement contre son adversaire américain de la Guerre froide, et en espérant la lancer dans le conflit. Après plusieurs heures de combats, le Koweït tombe dans les mains de l'armée irakienne, qui parvient à capturer la résidence de l'émir Jaber al-Ahmad al-Sabah, le palais Dasman, protégé par la Garde nationale koweïtienne et la police locale. Le général français Maurice Schmitt, Chef d'État-Major des armées, estime que moins de 5 000 civils irakiens ont été tués par les bombardements de la coalition[1]. Historiquement, il était une région de la Mésopotamie (l'Irak actuel) et son existence n'était due qu'à ses fortes réserves en hydrocarbures. Invasion du Koweït par l’Irak. Elle déclare à son interlocuteur que « Washington, inspiré par l'amitié et non par la confrontation, n'a pas d'opinion » sur le désaccord entre le Koweït et l'Irak, déclarant que « nous n'avons pas d'opinion sur les conflits arabo-arabes ». De toutes les autres chaînes, CNN était la seule capable de réaliser cela, ce qui fut un gros succès pour elle. En 2001, le capitaine français Ludovic Monnerat donne un bilan bien plus faible pour les pertes irakiennes : 3 000 à 5 000 morts, 8 000 à 15 000 blessés, 86 000 prisonniers dont 2 500 blessés[20]. la libération du Koweït a été la bataille terrestre menée par la Coalition entre le 24 et le 28 Février 1991 au cours de la guerre du Golfe, est entré en action 39 jours après le début de 'Opération Tempête du Désert. Les besoins en pétrole satisfaisant un nombre croissant de pays, le paroxysme de l'anti-impérialisme, des mouvements pour la paix et la démocratie expliquent une telle intervention. L’émir et sa famille se réfugient en Arabie Saoudite tandis qu’un gouvernement provisoire pro-irakien est formé. communément seconde guerre du Golfe, la première étant le conflit [limé de 1980 il 1988 entre l'Irak et l'Iran Les raisons qui amènent l'Irak à revendiquer périodiquement la princi­ pauté du Koweit sont de trois ordres: historique, géographique et économique. Genèse du conflit. Elle résulte en une occupation irakienne du Koweït pendant 7 mois, avant que le pays ne soit libéré par les forces de la Coalition. La dernière modification de cette page a été faite le 9 janvier 2021 à 11:40. La presse a néanmoins tenté de se défendre contre les restrictions d'accès à l'information. La grande majorité des forces militaires de la coalition viennent alors des États-Unis, avec l'Arabie saoudite, le Royaume-Uni et l'Égypte comme principaux contributeurs, dans l'ordre. Le sort de 605 Koweïtiens arrêtés pendant l'occupation est resté inconnu jusqu'en 2009, date à laquelle les restes de 236 d'entre eux ont été identifiés en Irak. Plus de 400 000 civils koweïtiens et des milliers de ressortissants étrangers fuient le pays, soit environ la moitié de la population koweïtienne[9]. Quelle guerre culturelle ? Al-Kuwayt (/al ku'wajt/, prononciation littéraire) signifie en arabe classique « la petite forteresse construite près de la mer »3. Cette guerre, dite guerre du Golfe parce qu'elle se déroule sur les bords du golfe Persique, trouve son origine dans la précédente g uerre engagée par l'Irak contre l'Iran. Perry M. Smith, « How CNN fought the war: A view from the inside », 1991, New York, Birch Lane Press. Après une série de négociations infructueuses entre les grandes puissances mondiales et l'Irak, les États-Unis déclarent la guerre à l'Irak à la mi-janvier 1991. Pour le bombardement de l'abri d'Amiriya par l'aviation américaine, les estimations sont d'environ quatre cents morts, tous civils[19]. La difficulté essentielle tient à la distinction entre les morts indirectes causées par les bombardements et celles causées par les sanctions, qui ont empêché la reconstruction du pays[27]. Ayant tiré les leçons de la guerre du Viêt Nam, le Pentagone a pris le contrôle de la diffusion des informations, en imposant certaines restrictions à la couverture de la presse[33]. Endless torment : The 1991 Uprising in Iraq And Its Aftermath, « Bombing Dual-Use Targets: Legal, Ethical, and Doctrinal Perspectives », Rapport d'information déposé en application de l'article 145 du Règlement par la commission de la Défense nationale et des forces armées en conclusion des travaux d'une mission d'information (sur les conditions d'engagement des militaires français ayant pu les exposer, au cours de la guerre du Golfe et des opérations conduites ultérieurement dans les Balkans, à des risques sanitaires spécifiques, « Dédommagement des 92 « Diambars » décédés pendant l'opération, Activité du Special Air Service durant la guerre du Golfe, Intervention alliée pendant la guerre civile russe, Coalition internationale en Irak et en Syrie, Opérations aériennes de la coalition internationale en Syrie, Interventions militaires des États-Unis dans le monde, List of the lengths of American participation in major wars, Acquisitions territoriales des États-Unis, Covert United States foreign regime change actions, Pertes humaines américaines lors des guerres impliquant les États-Unis, Géopolitique en mer Méditerranée orientale, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Guerre_du_Golfe&oldid=178592147, Article manquant de références depuis août 2017, Article manquant de références/Liste complète, Page géolocalisable sans coordonnées paramétrées, Conflit militaire géolocalisable sans coordonnées paramétrées, Article contenant un appel à traduction en anglais, Article de Wikipédia avec notice d'autorité, Page pointant vers des dictionnaires ou encyclopédies généralistes, Portail:Époque contemporaine/Articles liés, Portail:Forces armées des États-Unis/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, les préparatifs militaires alliés au cours de l'automne, sabotage des puits de pétrole par les soldats irakiens (25-, 100 000 morts dans les bombardements précédant l'offensive terrestre selon une source non officielle du, 100 000 soldats tués (avec une marge d'erreur possible de 50 %) et 300 000 blessés selon une source de la, Entre 25 000 et 150 000 morts d'après d'« autres observateurs », Moins de 5 000 civils tués dans les bombardements, 2 140 pièces d'artillerie détruites sur 3 110, 1 856 blindés légers transporteurs de troupes détruits sur 2 870. L'opération Daguet (Guerre du Golfe / Irak-Koweït, 1990-1991) et le tournant de l'après-guerre froide Le dernier puits fut éteint le 6 novembre 1991. La crise éclate le 2 août 1990, lorsque l'Irak, dirigé par le président Saddam Hussein, envahit et annexe le Koweït.Cette invasion a des causes lointaines et récentes. Les hostilités ont continué jusqu'à la fin février 1991, date à laquelle le Koweït sera libéré[16]. L’invasion du Koweït, également connue sous le nom de guerre Irak-Koweït, est un conflit majeur entre l'Irak de Saddam Hussein et le Koweït, du 2 au 4 août 1990. En plus des destructions dues à tout conflit militaire et de l'impact sanitaire de l'uranium appauvri, il y eut un désastre écologique régional dû à l'incendie de 732 puits de pétroles koweïtiens par les forces irakiennes qui voulaient ainsi obscurcir le ciel dans l'idée de gêner l'activité aérienne de la Coalition et de nuire à l'économie mondiale, environ 20 millions de tonnes de pétrole furent déversées dans le sol. En ce qui concernera la crise de l'invasion du Koweït, l'URSS ne bougera pas, confrontée elle-même à sa propre dissolution, avec la fin du communisme, et l'indépendance des États qui la constituaient. Lorsqu'on y a découvert du pétrole, les Koweïtiens, qui avaient l'habitude de la pauvreté, ont géré avec parcimonie leur ressource en investissant et diversifiant dans le monde entier. Elle est appelée Guerre du Golfe, en raison de sa situation géographique, sur les bords du golfe Persique. Plusieurs raisons officieuses ont été avancées afin de justifier l'invasion irakienne : l'incapacité de l'Irak à rembourser les 80 milliards de dollars qui avaient été empruntés au Koweït pour financer la guerre Iran-Irak et la surproduction koweïtienne de pétrole qui a provoqué des baisses de revenus pour l'Irak[5]. En 2016, The Daily Beast donne un bilan de 25 000 à 65 000 soldats irakiens tués et 75 000 blessés[3]. 100 000 civils ont pu ainsi être touchés indirectement, tandis que le taux de mortalité infantile aurait doublé[23]. Malgré la brièveté de la guerre, les communications de l'administration américaines pendant la guerre du Golfe ont été importantes. De même, ils redoutent peu l'arrivée d'un régime islamiste hostile aux Occidentaux, de par la faible influence de l'Iran et les bonnes relations en façade entre la république islamique du Pakistan et les États-Unis. La 35e brigade mécanisée de l'armée koweïtienne parviendra par ailleurs à battre en retraite en Arabie saoudite ainsi qu'une partie de l'aviation koweïtienne et de la marine de ce pays. Annex II of S/1999/356. C’est-à-dire, créer une censure par rapport aux contenus qui allaient être présentés au public. Ce dernier s'était déjà enfui dans le désert saoudien dès le début de l'invasion. Allied planes bomb Iraq: Kuwait's liberation begun, says US, Feb. 25, 1991: Iraq withdraws from Kuwait. Mais Saddam Hussein se trompe sur son allié potentiel : l'URSS avait déjà retiré ses troupes en Afghanistan en 1989, et les Soviétiques n'ont plus les moyens de lancer des opérations majeures à l'étranger. Invasion du Koweït conduira à guerre du Golfe en 1991. Les habitants du Koweït ne se sont jamais bien entendus avec les Irakiens qui les ont toujours méprisés. Les rédacteurs en chef de la presse écrite et de la télévision ont collaboré pour effectuer la rédaction d'une lettre au président George W. Bush faisant part de leurs préoccupations concernant les restrictions imposées, particulièrement en Arabie saoudite. Cette invasion, élément déclencheur de la guerre du Golfe, conduit ainsi directement à l'intervention militaire des États-Unis contre l'Irak en janvier 1991. L’invasion du Koweït, également connue sous le nom de guerre Irak-Koweït, est un conflit majeur entre l'Irak de Saddam Hussein et le Koweït, du 2 au 4 août 1990.Elle résulte en une occupation irakienne du Koweït pendant 7 mois, avant que le pays ne soit libéré par les forces de la Coalition. Il y a 30 ans, Saddam Hussein proclamait le Koweït "19e province" de l'Irak. En 1998, Libération indique qu'il est « impossible d'avancer des statistiques sérieuses sur les pertes irakiennes. La position initiale américaine sur le conflit, Condamnations par la Communauté internationale, L'intervention des forces de la Coalition, Saddam Hussein espérait ainsi donner l'occasion aux conservateurs communistes russes de reprendre la situation en main, face aux libéraux incarnés par. Un article de la revue Études internationales (Volume 40, numéro 3, 2009, p. 359-488) diffusée par la plateforme Érudit. Ils achetaient le bois au Pakistan ou en Perse, et fabriquaient des bateaux qui naviguaient dans tout le golfe arabo-persique. Le nom est d'ailleurs morphologiquement un diminutif, sur le schème fuʿayl. 1,88 milliard de gallons d'essence ont été consommés sous la juridiction du U.S. Central Command durant les opérations Desert Shield et Desert Storm entre le 10 août 1990 et le 31 mai 1991. Emotional Emir Returns to Kuwait : Royalty: He covers his face and stoops to kiss the ground. Au total, dans toute l'opération Tempête du Désert, les pertes de la coalition sont de 240 morts et 776 blessés, qu'il convient d'additionner avec les 138 soldats tués et 2 978 blessés hors combat, dans divers accidents, depuis Bouclier du Désert ; 41 militaires alliés étaient par ailleurs prisonniers des Irakiens. Plusieurs pays, comme l'URSS et la Chine, ont placé un embargo sur les armes à l'Irak. Pour la première fois, la population a pu assister en direct à des scènes inquiétantes de la guerre. Les journalistes chanceux ont dû être accompagnés par des soldats, officiellement pour des raisons de sécurité. Le 2 août 1990, le Conseil de sécurité des Nations unies adopte la résolution 660 condamnant l'invasion irakienne du Koweït et exigeant que l'Irak retire inconditionnellement toutes les forces déployées au Koweït[14]. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Saddam Hussein lui-même devait choisir CNN pour s’adresser aux nations occidentales[33]. Cette même année, les Iraniens lancent la guerre des pétroliers et arraisonnent plusieurs tankers koweïtiens, le Koweït ayant apporté son soutien à l’Irak dans cette guerre contre l’Iran. Cette réduction drastique est due à la fois aux bombardements aériens et aux sanctions économiques appliquées ensuite par l'ONU (résolution du Conseil de sécurité des Nations unies no 661 ; la résolution 687 d'avril 1991 permettait l'envoi de denrées alimentaires et de fournitures médicales, mais pas des matériaux nécessaires à la reconstruction du réseau électrique et d'eau potable)[27]. L'occupation du Koweït a été unanimement condamnée par toutes les grandes puissances mondiales. Dès ce moment, les communautés internationale et arabe se mobilisent sur le plan diplomatique et militaire. bien pensants » ne crient pas au scandale. Le Koweït devient ainsi de facto la dix-neuvième province de l'Irak et est annexée le 28 août et devient le Gouvernorat du Koweït, telle que l'avait préconisé Saddam Hussein. Le 15 mars 1991, l'émir du Koweït, Jaber al-Ahmad al-Sabah, rentre au pays après avoir passé plus de 8 mois en exil[17]. Aux premiers jours du bombardement, les correspondants de CNN et leurs équipes ont été capables de réaliser un reportage radio en direct depuis une de leurs chambres à l'hôtel Rachid. La volonté pour les anciens États satellites de l'URSS de démontrer leur aptitude à intervenir sans Moscou est également un facteur d'intervention. En 1990, l'Irak accuse officiellement le Koweït d'avoir volé du pétrole irakien par forage oblique, bien que certaines sources irakiennes indiquent que la décision de Saddam Hussein d'attaquer le Koweït avait été mise au point de nombreux mois avant l'invasion[4]. Dix ans après, le monde a changé, le pétrole n'est plus une arme politique, son poids dans l'économie mondiale s'est réduit. En juin 1991, l'avocat Dominique Tricaud, membre de la Commission d'enquête « Vérité sur la guerre du Golfe », déclare estimer les pertes irakiennes à entre 35 000 et 45 000 morts pour les civils et à entre 85 000 et 110 000 morts pour les militaires[2],[21]. 1990-1991 : la guerre Irak-Koweït, guerre du Golfe. L’invasion du Koweït, également connue sous le nom de guerre Irak-Koweït, est un conflit majeur entre l'Irak de Saddam Hussein et le Koweït, du 2 au 4 août 1990. Il y a 30 ans la première “Guerre du Golfe” 9 janvier 2021 AVANT-PROPOS : les articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » ne représentent pas les positions de notre tendance, mais sont publiés à titre d’information ou pour nourrir les débats d’actualités. Le 9 août 1988 : le Koweït décide d'augmenter sa production pétrolière, notamment dans les puits de Roumaylah à cheval sur la frontière irako-koweïtienne dans une région revendiquée par l'Irak. Le Koweït et l'Arabie saoudite paient environ 32 milliards de dollars sur les 60 milliards que coûte le conflit. La guerre du Golfe de 1990-1991 ou guerre du Koweït, est un conflit qui opposa l'Irak de Saddam Hussein à une coalition de 34 États, soutenue par l'Organisation des Nations unies entre 1990 et 1991. Après avoir envahi le Koweït, il en a été délogé par ses anciens amis. Le président américain George Bush déploie les forces des États-Unis en Arabie saoudite et exhorte d'autres pays à envoyer leurs propres armées sur le terrain. Avec l’aide de nouvelle technologie, la couverture de la guerre a changé, les médias ont eu accès à des innovations militaires, telles que des images obtenues à partir d’armes équipées de caméras[33]. En revanche, la destruction des usines hydroélectriques et autres installations électriques, qui a permis d'anéantir les capacités de command and control (en) de l'armée irakienne, a provoqué l'explosion d'épidémies de gastro-entérites, de choléra et de typhoïde, en empêchant le fonctionnement des centres de traitement d'eau potable et d'eau usagée. Terminé en 1988, ce conflit meurtrier a laissé les deux pays exsangues. II n'est pas douteux qu'un état de guerre existe entre l'Irak et le Koweit à partir du 2 août 1990, date de l'invasion des troupes iraquiennes. En l’absence de réaction de Saddam Hussein, la guerre du Golfe (opération Liberté pour l’Irak), est déclenchée le 19 mars 2003 par des bombardements sur Bagdad, suivis dès le 20 mars par l’entrée des troupes terrestres, jusque là stationnées au Koweït, à Bahreïn et au Qatar, l’Arabie Saoudite ayant refusé l’utilisation de son territoire. L'argu.men t historique L'ambassadrice informe Saddam Hussein que « les États-Unis n'ont pas l'intention de commencer une guerre économique avec l'Irak ». Le témoignage se révèlera être mensonger et avoir servi à favoriser l'entrée en guerre des Occidentaux. Il y a 30 ans, l’invasion éclair du Koweït par l’Irak Le 2 août 1990, l'armée de Saddam Hussein déferle sur l'émirat et annexe ce petit territoire riche en pétrole. La guerre du Golfe est un conflit qui oppose, du 2 août 1990 au 28 février 1991, l'Irak à une coalition de 35 États, dirigée par les États-Unis à la suite de l'invasion et l'annexion du Koweït par l'Irak. Le nombre de soldats irakiens faits prisonniers est officiellement de 86 743 selon la coalition[1]. De haut en bas et de gauche à droite : des, Endettement irakien et différend pétrolier, Pertes militaires de la coalition occidentale, « impossible d'avancer des statistiques sérieuses sur les pertes irakiennes. En 1991, l’Irak de Saddam Hussein, au nom de revendications économiques et territoriales non abouties, envahit l’Émirat du Koweït. La guerre civile libanaise touche à sa fin et l'URSS s'est retirée d'Afghanistan. Des traces de fumée furent retrouvées sur l'Himalaya. La Chine, autre pays communiste majeur, plutôt préoccupée par son développement et sa croissance, sera plus inquiète de son approvisionnement en hydrocarbures, et préoccupée par d'éventuels troubles qui perturberaient le golfe Persique, et donc, ses fournitures en pétrole, et ne pose pas de veto à l'ONU, tout en suivant l'évolution de la situation. Articles détaillés : Invasion du Koweït et Guerre du Golfe. Lors de la marée noire due à l'ouverture volontaire du terminal de Mina al Ahmadi par l'Irak le 20 janvier 1991, 800 000 tonnes de pétrole brut se répandirent dans le golfe Persique et polluèrent les côtes koweïtiennes, saoudiennes et iraniennes. Le 29 novembre 1990, la résolution 678 du Conseil de Sécurité des Nations Unies autorise le recours à la force contre les forces irakiennes, si celles-ci n'ont pas évacué le Koweït au 15 janvier 1991. Le Koweït viole ainsi les accords signés à l'OPEP, produisant 2,1 millions de barils par jour au lieu d'un million prévu par ces accords [1]. Les grands réseaux de télévision américains (CBS) la présentaient du strict point de vue militaire américain. But not many citizens turn out to greet him. Les 150 000 soldats américains et britanniques prennent Bassorah le 7 avril, Bagdad le 9 avril, Mossoul le 10 avril, Kirkouk le 11 avril et Tikrit le 14 avril. Effectifs et équipements de l'armée irakienne au Koweït et dans la région : Effectifs de la coalition : 938 545 hommes. Je ne suis qu'un ob-servateur qui n'a pu s'empecher de verifier, dans les temps et les lieux, la pensee de Pascal : . BBC News, 14 May 2009, https://www.pbs.org/frontlineworld/stories/iraq501/events_kuwait.html, http://lcweb2.loc.gov/cgi-bin/query/r?frd/cstdy:@field%28DOCID+kw0058%29, CONFRONTATION IN THE GULF; Excerpts From Iraqi Document on Meeting With U.S.