C'est la première fois que l'arme chimique est utilisée sur une population urbaine[15] depuis la Seconde Guerre mondiale (l'Égypte avait utilisé de l'ypérite sur des villages du Nord-Yémen dans les années 1960[16]). En janvier 1987, l'Iran lança deux grandes offensives : Kerbala 5, à l'est de Bassorah, où Téhéran voulait établir un gouvernement provisoire d'une République islamique irakienne, constitué avec les chefs des opposants chi'ites irakiens réfugiés en Iran ; et Kerbala 6, offensive à 150 km au nord de Bagdad, en direction des grands barrages de l'Euphrate. Le 18 juillet 1988, Téhéran accepta le cessez-le-feu, qui prit effet le 22 du même mois. Le 17 mars 1988, l'armée irakienne utilise des armes chimiques et biologiques sur la ville kurde d'Halabja qui causent la mort de près de 5 000 habitants. Pour Bagdad, il s’agissait d’en rajouter pour prouver aux monarchies du Golfe que l’Irak avait vaillamment joué son rôle de bouclier contre l’expansionnisme révolutionnaire iranien, de manière à les convaincre de renoncer à leurs créances pour prix du sang versé ». Le conflit se conclut de fait par un statu quo ante bellum, les deux pays acceptant de revenir aux accords territoriaux d'Alger de 1975. Des volontaires occidentaux (Américains, Britanniques, Canadiens, Français, etc) intègrent des unités de combat kurdes des YPG en Syrie et des Peshmergas en Irak[2]. Le groupe a été mis en place par des membres du MLSPB et du BÖG, inspirés par les Brigades internationales qui ont combattu durant la guerre civile espagnole. La guerre d’Irak est une guerre pour l’expansion territoriale d’Israël. L'Arabie saoudite a ainsi déboursé entre 1980 et 1988 près de 25 milliards de dollars pour financer l'armée irakienne[46]. La France, par exemple, fut le deuxième fournisseur d'armes de l'Irak, formant des pilotes, permettant aux irakiens d'utiliser la base d'aéronautique navale de Landivisiau[40] (pour la formation de pilotes) et la base aérienne de Châteauroux-Déols[41] (pour l'exportation d'armes vers l'Irak) et prêtant même cinq Dassault Super-Étendard[42] (lors de l'opération Sugar) de sa marine en attendant que les Mirage F1 commandés soient livrés, et fournit secrètement à l'Iran environ 450 000 obus d'artillerie de 155 et 203 mm de la société Luchaire entre 1982 et 1986[43] ainsi que des pièces détachées pour des missiles sol-air Hawk[44]. Le 2 août 1988 a lieu la dernière attaque chimique irakienne de la guerre : la ville d'Oshnaviyeh est bombardée par un avion irakien et au moins un millier de personnes sont blessées[22]. Le conflit se démarque également par l'utilisation intensive d'armes chimiques par l'Irak, et par de multiples attaques visant les populations civiles. Le plus gros succès fut obtenu au sud, après la chute de Khorramchahr au prix de très durs combats. (Crédit photo : Freedom House Flickr) Par Nicolas J.S Davies (revue de presse : Les Crises - Extraits - 11/7/18)*. Ils seraient plus de 200.000 hommes en Irak, plusieurs milliers en Syrie. Les pertes furent énormes de part et d'autre, mais les forces iraniennes furent finalement bloquées. Selon cette émission l'attaque a été perpétrée par un Falcon modifié et non par un Mirage F1. Au sujet de cet incident, une thèse un peu différente est mise en avant dans l'émission de Patrick Pesnot Rendez-vous avec X[30],[31]. L'objectif est de proposer à de jeunes Français, Belges ou Suisses d'aller combattre les djihadistes, en particulier ceux de l'État islamique, sur leurs terres[5]. Très affaiblie après l'opération Kaman 99 et l'attaque sur H-3 (60 % de la force de frappe détruite par l'Iran), elle sera reconstituée avec des appareils plus modernes qui seront beaucoup plus efficaces contre la chasse iranienne. La Royal Navy et la Marine nationale française entre autres dépêchèrent des navires de guerre dans l'océan Indien pour surveiller les voies de navigation et neutraliser les champs de mines pouvant gêner l'approvisionnement pétrolier de l'Occident et du Japon. L'offensive irakienne de 1980 est baptisée Kadisiyya, en référence à la conquête de l'Iran par les Arabes au VIIe siècle. Défiler vers le bas. Le contentieux des dettes de guerre, dues par l'Irak, a d'ailleurs été une des causes de l'invasion du Koweït par l'Irak en 1990. Selon les déclarations écrites de l'Irak à l'ONU en 2002 sur son programme chimique, tout le matériel et les connaissances ayant pour but de mettre au point ce programme viennent des pays suivants : Singapour, Pays-Bas, Égypte, Inde, RFA, Luxembourg, Brésil, France[23], Autriche, Italie et États-Unis. Ce contrat sera honoré dès 1981 avec la livraison de quatre mirages F1. Lorsque des anciens combattants américains de retour d’Irak ou d’Afghanistan passent en jugement… Le 20 mars marche sur Washington…et manifestation à Paris La catastrophe, qui fit 290 victimes civiles, dont 66 enfants, serait due à une « méprise ». Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le 25 juillet, les moudjahidines du peuple, mouvement soutenu par Saddam Hussein, franchissent la frontière irako-iranienne pour tenter de renverser le régime iranien (opération Mersad). SSPT affectant «un quart de million» d'anciens combattants de la guerre du Vietnam. Le coût du programme chimique irakien ne représenterait donc que 0,27 % des dépenses militaires irakiennes totales sur cette période[25]. Le 28 juin 1987, l'Irak utilise l'arme chimique sur la ville de Sardasht (en) en Iran, tuant une centaine de personnes et en blessant au moins 2 000. Cette version fut démentie par la marine italienne, et par la frégate américaine Sides, qui confirmèrent que l'avion était en montée. Le 20 mars 2003, l'armée américaine intervient en Irak. C'est pourquoi elles ne s'opposent pas dans un premier temps à l'offensive irakienne, allant jusqu'à la soutenir ensuite. Il s'agit des « Boghammar » qui faisaient 13 m de long, filaient à 45 nœuds avec un équipage de six hommes. Divers affrontements armés eurent lieu, allant de simples escarmouches à des batailles en règle concernant essentiellement la liberté de navigation des pétroliers dans le golfe Persique. Les Soviétiques protestent et leur offrent de transformer tous les Mig-25R irakiens au standard RB. Et à plus de 100 millions selon John Bulloch en 1983[48]. Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ». Le groupe est composé de combattants turcs, kurdes, alevis, espagnols, grecs, allemands, albanais, circassiens, arabes, arméniens et Lazes[18]. En 1981, les deux armées commencèrent à avoir de nouveaux besoins en équipements. En juin 1982, l'Iran parvient à regagner le territoire perdu après l'attaque irakienne, et adopte une posture offensive pour le reste du conflit. Les destructions dans les zones rurales furent également importantes : Plus de 30 pour cent des villages des cinq provinces Iraniennes frontalières avec l'Irak furent complètement détruits; d’autres furent endommagés de manière importante. Le sort des 175 plongeurs provoqua une vague de sympathie dans les réseaux sociaux iraniens[69]. L'Allemagne de l'Ouest procura à l'Irak une grande partie de la technologie des armes chimiques[45]. Les exportations irakiennes de pétrole auraient été ruinées sans l'ouverture d'une nouvelle ligne par la Turquie. Comment ajouter mes sources ? Si l'armée irakienne est largement pourvue en équipements modernes, elle manque d’encadrements de qualité et expérimenté pour mener une guerre de cette envergure. Le lieutenant-général John F. Sattler et le major-général Richard F. Natonski ont dirigé 15 000 soldats américains et de la coalition contre environ 5 000 combattants insurgés dirigés par Abdullah al-Janabi et Omar Hussein Hadid. L'idéologie politique des combattants est variée et comprend le marxisme-léninisme, l'hoxhaïsme, le maoïsme, et l'anarchisme. Une pancarte de protestation dans le quartier de Kafersousah à Damas, en Syrie, le 26 décembre 2012. L'Irak espérait qu'un tel mouvement entraînerait rapidement la chute du nouveau régime. Plusieurs combattants étrangers ont rejoint le Dwekh Nawsha, dont des Occidentaux américains[3], australiens, et même des Français[4]. La réparation du navire coûta 142 millions de dollars à la marine américaine[29]. L'intérêt pour l'Irak d'avoir utilisé l'arme chimique pendant cette guerre semble en partie due à son faible coût. La guerre d’Irak est une guerre pour l’expansion territoriale d’Israël. Début 1981, l'armée iranienne contre-attaque et parvient à libérer l'essentiel de son territoire début 1982. Le groupe est actif dans le Kurdistan irakien aux côtés des Peshmergas, notamment dans les villes de Dahuk et Kirkouk[5]. Du côté iranien, l'enrôlement de masse, y compris de très jeunes garçons, s'accompagne d'une exaltation des martyrs. (Saddam Hussein — Wikipédia)Après l’invasion de l’Iraq par une coalitions a majorité Anglo-saxonne qui a duré 1 mois et 12 jours (et qui fut un succès du point de vue militaire), vint l’occupation et c’est là que de grosses erreurs ont été commises . Malgré l'effet de surprise, l'invasion irakienne ne connaît pas le succès escompté, ne réalisant que des gains territoriaux très limités, et est rapidement repoussée par une série de contre-attaq… La victoire territoriale contre Daesh s'accélère en Syrie et en Irak. Ils sont parfois intégrés au sein d'unités kurdes multinationales, ou bien forment leurs propres groupes. Bien que leurs relations diplomatiques soient gelées durant cette période, l'affaire Iran-Contra prouve que des contacts et des rencontres eurent tout de même lieu entre les gouvernements de ces nations quand leurs intérêts étaient convergents. Elles s’en sont retirées en décembre 2011. La marine irakienne restera ensuite pratiquement inactive pendant tout le reste du conflit. L'Iran demeure quant à lui largement isolé tout au long du conflit. L'URSS maintint le contact avec les deux belligérants et œuvra à améliorer ses relations avec Téhéran. La France se contenta d'un bref communiqué condamnant « l'usage d'armes chimiques où que ce soit ». Dans une lettre datée du 14 août 1990, Saddam Hussein accepte de revenir aux accords d’Alger de 1975 : il libère une partie des prisonniers de guerre (les derniers prisonniers de guerre ne seront libérés que plus de dix ans après la fin des hostilités)[5] et l'armée irakienne quitte les territoires occupés. ), http://www.lewrockwell.com/orig8/constantino1.html, Description de l'entreprise d'armement de Carlos Cardoen, Walsh Iran / Contra Report - Chapter 8 The Enterprise and Its Finances, « La guerre du Chatt al-Arab : les raisons de l'Irak », Division d'infanterie mécanisée irakienne, Liste des victoires des pilotes iraniens dans les combats aériens lors de la guerre Iran-Irak, Prix du livre de l'année de la Sainte Défense, Ordre de batailles et photographies des belligérants, Leçons tirée de la guerre Iran-Irak par le Corps des Marines. La seconde version consista à affirmer que le transpondeur de l'Airbus A300 l'identifiait à la fois comme un avion civil et comme un chasseur militaire, et que la marine américaine, n'ayant eu de réponse à ses appels de semonce, aurait ouvert le feu[37]. Cependant, en dépit de la puissance de l'armée irakienne, le conflit s'enlise rapidement. L'Irak fut, entre 1985 et 1990, le premier importateur de matériel militaire au monde, soit un total de 10 % du marché. Son bilan est catastrophique, et tout d’abord pour l’Irak et pour son peuple. De gauche à droite et de haut en bas : un, Armée de terre de la République islamique d'Iran (1980), Forces aériennes de la République islamique d'Iran, Implication des autres pays du Moyen-Orient, Bilan humain et couts et étendues des destructions, Conséquences sur l'opinion publique iranienne et relations contemporaines entre l'Iran et l'Irak, « Dans un hôpital de Téhéran nous avons vu les effets de l', L'État d'Israël fut également l'un des principaux fournisseurs d'armes des forces aériennes iraniennes, attaque qui avait nécessité deux vols de reconnaissance préalable, le premier étant accompli par deux RF-4E iraniens, le second par un appareil israélien, « À l’époque, les Iraniens avaient intérêt à surévaluer le nombre de leurs victimes pour diaboliser l’Irak, accroître la victimisation des chiites face aux sunnites et renforcer la « martyrologie » ambiante afin de justifier les mesures d’exception. L'année suivante, l'épouse du commandant du navire (le capitaine de vaisseau Wille Rogers) échappa à un attentat à la voiture piégée chez elle, en Californie. Il est à noter que les chars T-72 irakiens qui furent livrés à partir de 1984 n'étaient pas aux standards de l'Armée rouge. Les Iraniens réussirent à obtenir d'Israël des pièces détachées de chars M-48 et M-60. Cependant, après mai 1979, un certain nombre d'incidents éclatèrent le long de la frontière : Le 20 septembre 1980, l'aviation irakienne bombarda un certain nombre de terrains d'aviation iraniens. Le Bataillon International de Libération est une unité militaire constituée de combattants étrangers se battant avec les Unités de protection du peuple pour défendre le Rojava contre l'État islamique[15],[16],[17]. Analyse militaire par l'USAF des capacités et des méthodes de l'armée de l'air irakienne pendant la guerre. La population civile est fortement mise à contribution, pour compenser les graves carences (dues aux purges khomeinistes) de l'armée régulière. Les contre-offensives iraniennes sont nommées Kerbela 1, 2, etc., évoquant le combat des premiers chiites contre le pouvoir sunnite. Les attaques de 1987 et 1988 contre les plates-formes pétrolières iraniennes donnèrent lieu à une plainte devant la Cour internationale de justice, qui trancha l'affaire en 2003 en déboutant les deux parties (plates-formes pétrolières (Iran c. États-Unis)). Le Pentagone a d'abord affirmé que le commandant du navire croyait avoir affaire (sur les radars) à un chasseur F-14 iranien en piqué. Elle se révélera déterminante pour compenser les faiblesses de l'armée de terre irakienne (conscrits peu formés et peu armés) et infligera de lourdes pertes à l'armée iranienne (opération En Dieu nous croyons). Le 22 juillet 1988 l'aviation irakienne utilise les armes chimiques sur le village iranien de Zarde : 275 habitants sont tués et des centaines blessés[21]. Avec la phalange chrétienne française partie combattre Daesh, Résistance populaire dans la région de l'est, Corps des Gardiens de la révolution islamique, Front de l'authenticité et du développement, Coalition des forces laïques et démocratiques syriennes, Coalition nationale des forces de l'opposition et de la révolution, Forces de protection des femmes du Bethnahrain, Forces révolutionnaires internationales de guérilla, Union révolutionnaire pour la solidarité internationaliste, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Combattants_étrangers_pendant_les_guerres_civiles_syrienne_et_irakienne&oldid=167716481, Intervention étrangère dans la guerre civile syrienne, Article avec une section vide ou incomplète, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Nous avons eu une expérience bouleversante ayant assisté aux souffrances endurées par la fillette de quatre ans moins de deux heures avant sa mort. Pour l'historien Pierre Razoux, le nombre d'un million de morts est surévalué[1]. Lors de cette guerre, "retrouver la trace des femmes tombées au champ d' honneur ... et les "mortes pour la France" depuis 1940 (1) La Seconde Guerre mondiale ... Si l'on parle communément "d'anciens combattants", on n'honore jamais les ... ce constat pour la Seconde Guerre mondiale vaut pour l'Indochine et l'Algérie. Les recrues, venues de tout le continent européen, sont bénévoles (pour ne pas être accusées de mercenariat) et la plupart du temps anciens militaires[5]. Dwekh Nawsha (« futurs martyrs » en araméen) est une organisation militaire chrétienne créée en août 2014 afin de défendre les communautés chrétiennes, assyriennes et chaldéennes d'Irak. Guerre d'Irak : comment tout a commencé il y a dix ans. La Task force Lafayette est une formation militaire constituée par des volontaires français à la fin de l'année 2015, venus combattre dans les rangs des peshmergas kurdes contre l'État islamique dans le cadre de la deuxième guerre civile irakienne. Jean-Pascal Zanders, spécialiste des armes chimiques du SIPRI, a lui aussi mis en doute les allégations américaines[20]. En représailles s'ensuivra le massacre de Halabja. nécessaire]. En mars 1988 l'armée Irakienne subit une défaite locale limitée à Halabja, contre les Peshmergas kurdes aidés des Iraniens. En 1988, l'armée irakienne reprend le dessus, avant d'être vaincue lors de l'opération Mersad (26 – 30 juillet 1988) qui est la dernière grande bataille de la guerre[réf. Il évoque également les motifs de cette attaque à un moment où les États-Unis soutiennent l'Irak. Pour Bagdad, il s’agissait d’en rajouter pour prouver aux monarchies du Golfe que l’Irak avait vaillamment joué son rôle de bouclier contre l’expansionnisme révolutionnaire iranien, de manière à les convaincre de renoncer à leurs créances pour prix du sang versé »[1]. La réinsertion, défi des anciens combattants d'Irak. La poursuite de l'utilisation des armes chimiques dans la guerre est énergiquement condamnée par la Communauté européenne le 25 mai 1987 et par le Conseil de sécurité de l'ONU le 9 mai 1988[17]. La Force aérienne de la République islamique d'Iran (acronyme anglais : IRIAF), affaiblie par les purges qui suivent la révolution de 1979 et par les sanctions internationales, a cependant réagi avec efficacité aux premières offensives irakiennes. Le 18 juillet, Khomeini accepte le cessez-le-feu exigé par la résolution 598 du Conseil de sécurité de l'Organisation des Nations unies (en) et le secrétaire général de l'Organisation peut annoncer la fin des hostilités actives pour le 20 août à 03 h 00 GMT. Deux voisins que tout oppose », Bulloch, John, The Gulf War : Its Origins, History and Consequences by John Bulloch and Harvey Morris, London : Methuen London, 1989, p.190, Parsi, Trita Treacherous Alliance: The secret dealings of Israel, Iran and the United States, by Trita Parsi, Yale University Press, 2007, Résolution 598 du Conseil de sécurité des Nations unies, Les effets des exportations d'armements chinois sur la violence régionale, Organisation des moudjahiddines du peuple iranien, corps des Gardiens de la révolution islamique, résolution 598 du Conseil de sécurité de l'Organisation des Nations unies, Force aérienne de la République islamique d'Iran, échec de l'opération destinée à libérer les employés, opération de grande envergure nommée Praying Mantis, plates-formes pétrolières (Iran c. États-Unis), Institut de recherche sur la paix de Stockholm, base d'aéronautique navale de Landivisiau, commission de l'ONU pour les droits de l'homme, oléoduc reliant Kirkouk au port syrien de Baniyas, Pierre Razoux : « La guerre Iran-Irak a façonné la géopolitique actuelle du Golfe », http://www.universalis.fr/encyclopedie/guerre-irak-iran-en-bref//, récit de la bataille navale sur un site web de vétérans, Iranian boat attack foreign ship during Iran-Iraq war, Livret du Groupe de l'Australie, juillet 2007, « Le désarmement chimique et le Protocole de Genève de 1925 », « Iran’s Nuclear Posture and the Scars of War », « Chemical Weapons in the Iran-Iraq war : A case study in noncompliance », « Who armed Iraq : The answers the west didn't want to hear », Engagements navals des États-Unis dans le golfe Persique, http://www.jag.navy.mil/library/investigations/USS%20STARK%20BASIC.pdf, United States Navy Judge Advocate General's Corps, Rendez-vous avec X : mai 1987, l'attaque du USS Stark (1/2), Rendez-vous avec X : mai 1987, l'attaque du USS Stark (2/2), « Jugement rendu par la cour de justice internationale sur cette affaire ». Elle regagna ainsi quelques territoires perdus. Les forces américaines ont envahi l’Irak le 19 mars 2003. En juin de cette même année, l'Irak décrète un cessez-le-feu, mais voit son territoire envahi à son tour le mois suivant.